Catégorie: J'ai testé...

Lundi 23 Mar 2009

Superman L4-L5

Houlààà, pas de post ici depuis deux semaines, avec tout ce que j'aurais à vous raconter ? Tsss, ya du laisser-aller ici.

Bon, pour commencer, ça sent le renfermé ici.
On va commencer par ouvrir la fenêtre un grand coup et aérer un peu.

Courant d'air

Hop.

Bon, venons-en au titre alléchant de ce post :

Superman L4-L5

Visant toujours l'excellence, il m'est apparu vital d'entretenir cette musculature en carbure de tungstène qui, alliée à une morphologie statuaire d'athlète grec en majesté s'accorde si bien avec la finesse d'esprit qui me caractérise et fait trembler d'un désir frétillant et humide mes admiratrices (et teurs) transis dans le monde entier depuis des décennies.
Ou, plus prosaïquement : si je ne veux pas terminer le dos en vrac et les vertèbres L4-L5 en poudre d'ici deux semaines, j'ai intérêt à bouger mes petites fesses hors de mon siège à roulettes et me refaire des abdos fissa, sinon j'en aurais pour des mois de kiné.

Bref, S.O.S. Lombaires en Péril, mission de sauvetage d'urgence "Abdos pour mon dos" enclenchée.

Pour ce faire, je me suis tourné vers le top de la crème des méthodes de remise en forme.
Après étude de marché, j'ai opté pour un bouquin trrrééès progressif, bien illustré, avec des dessins rassurants d'un type qui fait tous ses exercices tranquilou chez lui avec deux chaises et un coin de porte.
Parfait, aucune envie de sortir de chez moi pour me rendre ridicule à suer sur une machine.
Et pas la peine de se faire mal non plus, j'ai décidé d'y aller pro-gres-si-ve-ment.

Incidemment, l'écrasante majorité des témoignages qui me fut donné de lire sur cet étonnant ouvrage le donnait comme sésame magique vers le surdéveloppement magique d'un physique digne de Superman. Photos suspectes à l'appui.
Baste, m'en cogne, il n'est point dans mes intentions de m'Hulkifier. Mais si la méthode marche, tant mieux.

En revanche, cette méthode suppose de suivre ses progrès jour après jour, histoire de s'auto-motiver. Ce que j'ai fait.

JOUR 1, au saut du lit :
Petites séries douces de trucs et de machins faciles, bien cadrés, sans forcer, juste pour s'auto-évaluer. Quelques pseudo-pompes sur un dossier de chaise, un certain nombre (entre "peu" et "pas bézef") d'abdos trèèès légers, du classique, light.
Pas fou, je décide après deux minutes de contorsions sur le tapis du salon de me contenter d'un demi programme.
Mollo le premier jour. De plus j'augmente fortement ma marge de progression, ce qui renforcera ma motivation ultérieure (quoi "feignasse" ?).
Enfin j'écourte la fin de séance : élastique comme une plaque en fonte, inutile de forcer sur les assouplissements.
Hop, content, j'ai fait du sport.
10 minutes.

JOUR 2, au tombé du lit :
Miracle ! Allélouia ! Hosanna ! C'est absolument incroyable, les témoignages disaient vrai !
En une seule séance, me voici métamorphosé !
Il n'a suffit que de quelques mouvement pour faire de moi le nouveau Superman.

Enfin... Christopher Reeves.
J'ai tellement mal partout que je ne peux plus bouger un orteil.

Retour au fauteuil à roulettes, vais attendre un peu avant de refaire un essai moi...
[PHOTO]Superman après une bonne séance d'abdos dans son salon

Ouille.
(Andouille. M'apprendra à acheter une méthode de musculation recommandée par la fédération française de Kung-Fu...)


Samedi 07 Mar 2009

Danses de salon au Chadar

Marcher sur de la glace est un spectacle permanent. Un catalogue complet des chorégraphies ridicules.

On y rencontre des danseurs de claquettes,
qui jouent des castagnettes avec les dents :
Claquettes

Des danseurs de passo-doble - le pas de deux subtil consistant à rester debout en toutes circonstances (ou au moins à éviter le plongeon dans l'eau libre)
Tango

Des fadas du fox-trot, toujours prêts à amuser la gallerie au son mélodieux de la glace qui cède sous leurs entrechats (krrrrr... krrrrrrrr... krâÂÂC-PLOUF !):
Fada du fox-trot

Des amateurs de danses plus populaires, friands de queue-leu-leu de fin de soirée :
A, à, à la queue leu leu...

De virtuoses dandys glissant sur le parquet ciré :dandy se dandinant

Et des fondus de rock acrobatique !
Rock n roll ! Oui, on a eu peur aussi...

Bien entendu, le plus dur n'est pas de danser - ça vient tout seul, bon gré mal gré.
Non, le plus dur, c'est de trouver le ou la partenaire à votre mesure. L'être qui saura vous faire tourner le tête, virevolter en gigues en guinches, de valses en mazurkas !

Et là, ce n'est plus le talent qui joue, mais la chance...
Vous dansez mademoiselle ?


Mercredi 25 Fév 2009

Mon petit poney

Aglaoüntzh !

Que de questions pertinentes suite au dernier billet !
Je suis tout ébouriffé d'avoir un lectorat aussi attentif. Et réactif.
Surtout sur un sujet pareil.
Commenter une rédaction dont le sujet est "Racontez vos vacances"... non mais vous n'avez vraiment rien d'autre à foutre ?

Seigneur... Bon, puisqu'on n'a que les lecteurs que l'on mérite (ah elle est belle, la France qui se lève tôt pour gagner ses Rolex à la sueur du front des travailleurs, tsss), je m'en vais de ce pas répondre à quelques unes de vos remarques les plus brulantes.

Pour commencer, à celle de Drenka qui me dit à propos de lutte contre la caillante :
- "Dans ces cas la, on dit toujours qu'il faut tuer un poney, lui ouvrir le ventre, et se rouler dans ses intestins."

Pourquoi pas.
Je l'ai vu faire avec un chameau par un maniaque. (La vidéo est visible =>ici. Aussi gerboïde qu'instructive sur ce qu'il faut faire pour se chopper stupidement un septicémie et mourrir étouffé DANS un camélidé innocent)

Mais là, comment dire... Déjà à la différence du chameau ci-dessus, non seulement les poneys du Zanskar sont (très) vivants, mais en plus ils sont cornus, portent de gros piercings, des tentacules sous le menton, et ont un regard un tantinet intimidant.
De plus, ils ne laissent jamais le passage dans les chemins étroits.

Chaton d'alpage mangeur de cailloux.

Vous comprendrez donc que plutôt que de l'éventrer sauvagement avec mon opinel et me rouler dans ses tripes encore fumantes en hurlant "Raaahaaaannn", j'ai préféré plus sagement remettre un pull.

.
(La suite glacée au prochain numéro.)


Mardi 24 Fév 2009

Holidays on Ice

- Alors, c'était comment ?
- Frais.

Frais ?
Oui, frais. Frais comme dans "Houla, fait point chaud hein, pfiou !"

Frais comme quand la "salle de bain" de la guest house dans laquelle on dort les premiers jours ne permet pas d'avoir de l'eau libre. Et qu'on doit casser la glace se formant dans le seau. Et virer les morses des toilettes.

Vitres
Frais comme quand les vitres de la chambre sont couvertes d'une épaisse couche de givre au réveil.

Cascade figée
Frais comme quand on hésite à se laver les cheveux de peur qu'ils ne congèlent et cassent.

Inflorescences
Frais comme quand, en trek, le thermomètre placé à l'extérieur de la tente claque le premier soir.

Tartine de cils gelés
Frais comme quand les cils se couvrent de mascara blanc, la barbe cristallise, et que l'on doit faire tomber d'épais stalactites qui encombrent sa moustache.

Lectures à la moufle
Frais comme quand on apprend à absolument tout faire avec des moufles. Tout. Prendre des photos, faire ses lacets ou lire un bouquin.

Rivière et granité
Frais comme quand le premier thé du matin gèle dans sa tasse pendant qu'on roule son duvet ; frais comme quand après deux minutes sans moufles, on réchauffe ses mains directement dans la flamme vive du feu pour les ranimer...

Frais comme quand on passe ses vacances dans un congélateur géant.

Bref, vivifiant.

La suite dès que j'aurais décongelé mes deux mille photos...


Jeudi 06 Nov 2008

Belle assurance

La scène se passe dans un célèbre magasin d’articles de montagne parisien, un soir de semaine :

- Bonjour monsieur le marchand ! Je pars dans l’Himalaya en janvier prochain, marcher trois semaines sur une rivière gelée instable perchée à 3500m d’altitude, par -10 à -30°C. Qu’auriez-vous à me proposer pour protéger mes petites mimines ?

- Bonjour monsieur le client ! Alors justement nous avons ici d’excellentes paires de gants de ski qui…

- Ah non, pas de gants. Trop froid. Je veux que chacun de mes doigts profite de la chaleur apportée par ses petits copains. Impératif. Il me faut des moufles.

- Ah, oui. -30°C ? Nous avons cette superbe paire de moufles en pur duvet d’oie qui…

- Oui, mais non. Pas de duvet. Quand la glace craquera, on tombera à l’eau. On sait déjà que ça va nous arriver, ça arrive à tous ceux qui le font. Or le duvet trempé sèche très, très mal, s’agglomère, gèle, et là adieu mes doigts mignons, bonjour les moignons.

- Certes, mais un bon coup de sèche-cheveux le soir en rentrant et…

- Trois semaines. Pas d’électricité. Nuits dans des grottes à flanc de falaise, et dodo autour d’un feu de bouses de yak séchées. Moufles en duvet exclues, je veux du synthétique qui reste relativement isolant même humide.

- Euh… je sais ! Ce qu’il vous faut, c’est des gants de plongée.

- Du néoprène, par -30° ?

- Ah, euh, oui, euh, non. Bon, en moufles on a celles-ci qui…

- Elles sont modulaires ?

- Gni ?

- Je veux des moufles modulaires. Des paires gigognes. Moufle chaude dedans, déperlante, plus sur-moufle fourrée étanche dehors. S’il fait « chaud », je mets juste les moufles : glace instable, plouf, mouillé, il me reste les sur-moufles en secours. S’il fait très froid, glace solide, j’enfile le système complet, j’ai chaud, je garde mes doigts. Paires gigognes. Chaudes. A coutures thermosoudées. Avec renforts anti-abrasion pour les bâtons de marche.

- Ah. Oh. En effet. Bon. Aloooors, euh… lààà, du couuup, on a pas vraiment euh…

- Bon. Ok. Changement de tactique. Je veux voir les Millet « Expert 3/1 », les Black Diamond « Mercury », les TNF « Mountain Guide » et les Engelberg. Références catalogue 445843 et suivantes. Vous pouvez me les sortir en taille M et L s’il vous plait ? Ils sont rangés en haut à gauche derrière vous, non, un peu plus haut, voiiila, merci !

Bref, à force de lectures compulsives et d’études très approfondies, me voici incollable (et casse-pompons) sur le domaine expert et pointu des moufles d’expé en milieu glacial humide.

Sur mon CV, on pourrait ajouter : "sait acheter des moufles".
Au final, j'en ai pris une belle paire.
(*)

Et à cahier des charges délirant, prix en conséquence...
A moins de considérer ces cocons protecteurs comme une sorte d’ «assurance-doigts» ?
Auquel cas je viens d’estimer la valeur de chacun d’eux à 13€ pièce.
Ce qui, tout bien pesé et vu les services qu’ils me rendent tous les jours, n’est pas si cher…

D'après ce que j'en sais, l'hiver, les Zanskarpas remontant le Tchadar gelé portent des gants en laine. Et ils ont froid. Très froid. Pendant sept longs mois...
J'ai un peu honte, avec mes moufles de l'espace...

(*) Ok, c'est bon, lâchez vous, je l'ai laissée pour ça !

Permalien Posté par You à 03:35, Catégories: La vie, l'univers, le reste, Balade, J'ai testé..., Ladakhicédaire,   -  
=> Dites 33 !

Samedi 27 Sep 2008

Glandouille

Le ouicqukhende dernier, j'étais avec un pote, on a rien foutu.
De vraies larves.

Bon, on est bien descendu au marché vite fait chercher deux/trois trucs à grignoter.
De quoi se faire un sandouitche au jambon,
Un sandouich au jambon

Et des olives pour l'apéro.
Et des olives pour l'apéro

Y'avait un stand asiatique avec des nems, mais on a hésité.
Des nems

Puis on est vite rentré jouer à Super Mario Kart sur la PS3 (La 3D est top).
Super Mario Kart

Avant de se rendre compte que j'avais oublié de vider la boite aux lettres.
Du coup on a fait l'aller-retour.
Boite aux lettres

En remontant, on a fait une partie de mikado,
Mikado

Et un Tétris.
Tétris

On s'embêtait tellement qu'on a fini par jouer aux osselets avec des graviers.
Osselets

Sauf qu'on avait plus de chips, il a fallu redescendre.
Descendre chercher des chips

Et remonter...
Mayonnaise

Ah merde on a oublié la mayonnaise :
Mayonnaise

Et puis on a joué avec le chat :
Jouer avec le chat

En attendant le livreur de pizzas devant la Starac' à la télé.
En attendant le livreur de pizzas

Il a mis un temps fou, la vache.
Il en a mis, un temps !

Du coup elles sont arrivées froides...
Du coup elles sont arrivées froides

Bref, ouickquhende plan-plan, bien pépère.
Jamais plus de 12h de marche par jour, arrivée aux refuges de nuit que deux soirs sur 3.
Et pas plus de 4 cols à 2500/2700m dans la même journée (Palet, Fresse, Leisse, Vanoise), sinon après c'est gourmandise.
Et, cerise sur la tarte aux myrtilles : un grand beau temps plusieurs minutes de suite !

Un vrai w-e glandouille quoi...


Mercredi 10 Sep 2008

Traitresse salade

... la salade au poulet avalée devant l'ordi le midi au boulot sans faire gaffe à ce qu'on avale : mauvaise idée.
Très mauvaise idée.

Poulet = 1 , le You = 0

Munch schrompf gloup snif... rhgh... gh... ??... !!! ...
Khnnnn RHEUUU KOFF KOFF KOFFFF !!! Gargl...

Perplexité intense, étouffement violent et toux destructrice, vais crever, rhârgl...

Puis morceau de poulet finalement expulsé par une narine.

10 minutes pour m'en remettre.

Avaler un bout de pain dix minutes plus tard en lisant mes mails : très mauvaise idée.

Rebelotte, mais expulsion par l'autre narine.

On dit "jamais deux sans trois", mais je vais m'arrêter là pour aujourdhui, histoire de m'en tenir aux expulsions nasales...

-

Moralité : pour votre santé, ne mélangez pas travail et salade au poulet.
L'un d'entre eux est manifestement nuisible

Un collègue récemment parti en arrêt maladie pour une autre raison semble continuer à se nourrir tranquillement et sans souci majeur chez lui.
Doit-on y voir un indice sur l'élément le plus dangereux des deux ?

-

Samedi 26 Jul 2008

Note de bas étage

Pendant mes désormais lointaines dernières vacances, poussé de longue date par des amis de confiance et surtout par une jeune femme dont le bon goût infaillible n'est pas à mettre en doute si tu tiens à tes dents, j'ai enfin lu Le Maître et Marguerite, de Boulgakov.

Je n'ai pas été déçu : ce roman diabolico-moscovite n'attendait que ma lecture passionnée et attentive pour me faire plaisir.

Je ne vous déflorerais pas le sujet. Qu'il vous suffise de savoir que c'est très drôle, foutrement inventif, diaboliquement foutraque,
méchamment satyrique et diablement satanique tout à la fois. Mais pas que.
Lisez-le.

J'ai donc plongé mon nez dans l'édition poche de chez Pocket. Pas chère, bien traduite pour autant que je puisse en juger. J'étais loin de m'imaginer qu'il s'agissait aussi d'une édition savante.
Ou devrais-je dire d'une édition bavarde, celle ci etant constellée de renvois inopportuns, et bourbeuse de notes de bas de page.

De par ma longue (dé-)formation littéraire, il m'est quasi impossible de ne pas suivre ce balisage textuel, de même que déambulant dans une cité inconnue je ferais souvent quelques pas supplémentaires pour aller lire une plaque historique apposée sur la façade d'un immeuble intéressant (1).

Bref, quand je vois un petit (²), je plonge tête la première au fond de la page voir de quoi il retourne.

Mais dans cette édition, catastrophe. La première page (Titre, sous-titre, chapeau et une courte phrase d'incipit) comporte déjà trois notes, qui couvrent la moitié du papier.

Au second feuillet, le flot de notes de "bas" de page engloutit les deux tiers de la feuille...

Heureusement cette folie exegèsique se calme par la suite.
Pour en céder à des assauts d'une cuistrerie boursoufflée.

-

Au rayon "vétilles énervantes" :

Texte : "Au coucher du soleil, deux personnages se tenaient sur la terrasse (...) d'un des plus beaux édifices de Moscou (*) (...)

Note : "(*) Il s'agit de la maison Pachkov construite en 1784-1786 et qui abrita jusqu'en 1925 les collections du musée Roumiantsev. Le bâtiment fait actuellement parti de la bibliothèque Lénine."

... Non mais... on s'en fout ! Boulgakov n'en dit rien, aucun intérêt dans le récit, les personnages n'entrent pas dans ce foutu bâtiment, ils se contentent de dominer Moscou depuis la terrasse, point. C'est quoi cette histoire de musée dont on se contre-paluche (3) ?

Ce genre d'exemple abonde, je vous les passe donc.

Maintenant, beaucoup plus fort.

Page 80 : le nom d'un personnage (4) apparait. "[il] regarda le papier (...) : d'abord, une signature hardie de Trucbidulov (5), et, en marge, de l'écriture penchée du directeur financier Ludwig Trucovski (*) , un bon à tirer (...)"

Note de bas de page : "(*) : L'administrateur financier Ludwig Trukovski porte aussi le prénom d'un compositeur (bla bla bla, on avait remarqué merci) (re-bla bla bla, je passe cinq lignes) (...)[Il] sera victime des thèmes du musicien dont il porte le nom lorsque, par une nuit de Mai, les [créatures terribles et incongrues] monteront à l'assaut de son bureau"

Haaaan, la connasse !
Non seulement la commentatrice (6) a parlé pour ne rien dire, mais en plus elle a dévoilé une scène qui ne se passera pas avant plus d'une centaine de pages ! Et elle a parlé de [créatures terribles et incongrues], alors qu'on n'imagine pas à ce stade du récit que l'histoire puisse basculer à ce point vers l'irrationnel !
Bref, une allusion vague à un personnage, et cette cruche nous dévoile tout sur lui dans son bain de pied de bas de page. Et plombe une future scène.
Super, merci.

Championne du Monde de Cuistrerie, catégorie "Dopage universitaire".

Elle aurait fait ça au cinéma, on l'aurait foutue dehors après lui avoir fait bouffer son siège par le nez.

"Ah, ça c'est la future copine du héros. L'actrice qui joue le rôle a aussi tourné dans un film Moldave il y a 7 ans. Elle se marie avec son frère à la fin du film".

"Demain y'aura mon copain Bidule à la fête. Tu verras il est super sympa. Sa maîtresse de CM2 était bègue et elle adorait le bleu. Il mourra dans trois mois d'une collision avec un orignal"

Non mais franchement, des fois, ya des baffes qui se perdent.

-

(1) Généralement pour y lire "Ici naquis Marcel Ragouin, président d'honneur du Cercle Municipal des Amis des Arts, 1824-1911".

(²) Non, rien, c'était juste pour l'exemple.

(3) L'ex-Bibliothèque Lénine s'appelle désormais Bibliothèque d’État de Russie (en russe, Российская государственная библиотека ) Elle ne doit pas être confondue avec la Bibliothèque nationale russe, située à Saint-Pétersbourg. Derrière la façade de cet édifice se trouvent plus de 275 kilomètres d'étagères, plus de 42 millions d'objets, dont 17 millions de livres et de tomes de séries, 13 million de journaux, 350 000 enregistrements musicaux, 150 000 cartes et autres. Les médias représentent 247 langues parlées dans le monde, la partie étrangère représentant environ 29% de la collection intégrale.
Devant l'entrée principale du bâtiment se dresse un monument à Fedor Dostoïevski. Ah, là tout de suite on comprend mieux de quoi on parle. Parce qu'"Un des plus beaux édifices de Moscou", ça faisait un peu cheap, sans doute. Merci Machine pour ces précisions vitales. Vous pouvez remonter finir votre lecture.

(4) Personnage dont le nom n'est pas Tatyana Ivanovna Petrovskaia, bien que ce nom eût été crédible. Une recherche Google Image sans filtre sur ce prénom aurait pu orienter Boulgakov vers une vie plus onaniste qu'artistique s'il avait eu Internet et qu'il avait voulu tester les noms de ses personnages afin de voir à quoi pouvaient ressembler leurs avatars vivants. Or il faut rappeler que cette technique littéraire n'était pas de mise parmi les romancier de Russie Soviétique entre les années 30 et 60. Il est d'ailleurs à noter qu'une étude de santé Suisse de 1995 démontre que le taux de foulure du poignet chez les romanciers russes du début du XXe siècle n'est pas corrélée à leur consommation d'hentai, qui par ailleurs n'est pas encore quantifiée à ce jour.

(5) En vrai le nom n'était pas Trucbidulov. Il ne s'agit pas nom (7) plus du personnage sur lequel la note mettra l'emphase. La note concerne le second personnage, comme vous le verrez d'ici quelques mots. Vous pouvez continuer à lire. (Agaçant, non ?)

(6) Je tairai le nom de cette pédante indélicate, bien qu'elle ne le mérite pas.

(7) "Nom plus", hahaha... hum.


<< Page Précédente :: Page suivante >>

The Mönstrous Kazette von der Alpages

Et youpi tralala, Glürtenzfeildt ein that Mönstrous Kazette von der Alpages ! Un p'tit bouquetin découvre le monde... et le grand Nawak Universel. Curieux/se? Cliquez sur le mouton

You

Mars 2024
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
<<  <   >  >>
        1 2 3
4 5 6 7 8 9 10
11 12 13 14 15 16 17
18 19 20 21 22 23 24
25 26 27 28 29 30 31

Archives

Ailleurs

Amis

Médiéval

Zutilitudes

Balade

  • Vive le vent, vive le vent...

    ” – Alors, ces vacances en Islande ?”
    ” – Oh, sympa…”


    Isande, février 2015. Quelque part au nord du Hofsjökull.
    Astex, ce poulet, décide de retirer ses skis pour essayer d’avancer.

Zique - Groupes

Rando z'é voyage

Diverzévariés

    Glütâges précédents

    Divers

    Rechercher

    Syndiquez ce blog XML

    What is RSS?

    powered by
    b2evolution