Catégorie: Du bruit

Mardi 10 Mar 2015

Vive le vent, vive le vent...

” – Alors, ces vacances en Islande ?”
” – Oh, sympa…”


Isande, février 2015. Quelque part au nord du Hofsjökull.
Astex, ce poulet, décide de retirer ses skis pour essayer d’avancer.

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Mercredi 26 Mar 2014

50 nuance de Taïg-argh (Bonus)

Or donc, dans l'épisode précédent, j'ai réussi à nous faire passer, mon impétrant et moi-même, pour deux parfait poivrots disciples du Captain Igloo-Igloo-Hips .
Démenti formel : en parfaits gourmets, nous avons fortement privilégié la qualité à la quantité.

Talisker ? Oui, mais du 18 ans. Une tuerie.
Laphroaigh ? Pareil : un whisky majeur, en age de conduire sa motoneige tout seul.
Cognac ? "Leyrat fait de très belles choses", comme on dit sur les blogs gastronomiques.
Port Charlote ? Je vous laisse vous renseigner comme des grands...
Quant à la goutte artisanale du grand-père d'un ami, je préfère me taire tellement ce genre de délice papillaire est, et doit rester, confidentiel...

Bref, du bon, avec toute la modération qu'impose la vie dans un congélateur.
A savoir : à la moindre connerie, on perd des doigts...

Bref.

C'est donc parfaitement à jeun et après une journée sportive de pas loin d'une trentaine de bornes sur la glace, que nous nous somme arrêté dans une cabane.

Une cabane finlandaise, à savoir un havre de paix en rondins.
Dans une crique, au milieu de nulle part.
Entourée par les rennes.
Avec un poêle.
Et du bois pour le faire tourner.
Ils ont vraiment le sens de l'accueil, ces Finlandais.

Bon, c'est pas le tout, mais ça caille.
Qui dit poêle dit bûchettes, qui dit bûchettes dit refente : mon coéquipier sort la hachettes, et banzaï, il s'affaire derechef à tailler des cure-dents pour allumer le feu.

Tchac-tchac-tchac-tchreuk... grumphf...
Tchac-tchac-tchac...
"Dis, ça nécessite tout de même un certain apprentissage !"
Tchac-tchac-zip... mheu ? Mais... Aïeu !

Bon, rassurez-vous, plus de peur que de... euh... enfin...
En tout cas ça prouve l'utilité d'affuter sa hachette comme un rasoir : c'est absolument indispensable pour obtenir une coupe propre et nette, réparable au fin-fond de la taïga avec du scotch SterilStrip sans conséquence gravissime .

Sous réserve, bien entendu, de se couper selon un angle qui ne tranche pas totalement le pouce.
Mon compagnon a eu cette intelligence.
Une sorte de palliatif en attendant d’acquérir l'"intelligence de la main".

Et ce n'est qu'après cet épisode chirurgical que nous avons terminé Laphroaigh, Talisker et cognac.
Je n'avais pas d'autre anesthésique dans notre mini-pharmacie...

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Mercredi 26 Fév 2014

50 nuances de taïglagla (La suite)

Je réalise qu'il est temps de démythifier un peu ce voyage et ses protagonistes.

Certes, il m'est flatteur de vous servir l'image épique de deux aventuriers du froid, héros hirsutes et inflexibles perdus dans l'immensité glacée de la taïga infinie, bravant tempêtes boréales et rennes sanguinaires.

La réalité est légèrement différente.

Comme nous sommes parti fin janvier, les journées furent courtes.
Voici le déroulement d'une journée typique de deux marathoniens de l’extrême :

08h : Une vague lueur point : le jour se lève. Pas nous.

09h : ...

10h : ...gnu ?... mh.

11h : Nous finissons enfin par vaguement ouvrir un œil. Chacun s'extirpe de ses sacs de couchage, on relance le feu.
Petit dej' chocolat/céréales, car je n'ai pas réussi à me procurer assez de saucisses/haricots avant de partir.
Et quickstart au Talisker, histoire de huiler la machine.

12h : Bon, c'est pas tout ça, mais faut y aller. Le camp est vite plié, on attelle les pulkas, chausse les raquettes et en route !

13h : Stop ! c'est l'heure des cacahuètes. On fait glisser avec une lampée de Laphroaigh. S'agirait pas de rater l'apéro.


Le paysage reste sobre. Lui.

14h : Euh... On va par où au fait ? C'est quoi l'île toute noire à gauche ? Käyränokkasaaret ou Salasalmensaari ?
Bon... d'après le soleil on se dirigerait vers...
Ah bah non, pas de soleil...
Ok...
Et merde : on s'est encore perdu.
Bon, on s'en fout, il nous reste de l'eau de vie de prune.
"Kippis !" comme on dit dans le coin.

Mouiiii...


Bon bon bon...


Ah, un panneau ?


Ah. Spartiate. Au moins c'est raccord avec le paysage.

15h : Une poignée de graines, fruits séchés, chocolat. Fait faim dans ce frigo.
Tiens, on a de la visite...

16h : "Houlà, il se fait tard, la nuit ne va pas tarder. On dort où ?".

Là, c'est pas mal.

On aborde une ile, trouve le côté sous le vent et youkaïdi-youkaïda, c'est parti pour une heure de bûcheronnage.

Tchoc-tchoc-tchoc à la hachette, abattage d'arbres morts à la main, refente du bois congelé à cœur au couteau.

On déblaie un peu de neige sur la glace, une plateforme de rondins pour éviter que le feu ne coule tout de suite au fond du lac et paf, un beau feu qui crépite !

17h : On a bien bossé. Ça se fête. Armagnac !
Pendant que la neige fond dans la bouilloire, on peaufine notre nid douillet pour la nuit. Deux bâches, un sandwich de matelas, et nos duvets par dessus. Royal.

18h : A taaaaable ! Lyophilisés. Des bons.
Si si, je vous jure, ça existe.
Ça doit faire six mois que j'en teste le midi au bureau : les collègues me prenaient pour un barge.
Mais depuis mon retour, pour eux, je suis "celui qui dort avec les ours polaires".
Une légende.
Hééé ouais.

19h : On a refait nos réserves d'eau liquide, dans les Nalgènes bouillantes qui rejoignent le fond de nos sacs de couchage. S'agirait pas de les laisser geler dehors cette nuit.
Tiens, d'ailleurs, on boit quoi nous ? L'était pas mal le petit Port Charlotte d'hier soir, un whisky plus fruité que le vieux Talisker de ce matin. On se les compare, avec une tranche de salami grillé ?

19h12 : Grouaaaarh... Dodo.

Enfin, dodo... c'est vite dit.
Car dès que je m'endors, je ronfle.
Ce qui réveille mon compagnon de banquise.
Qui me réveille à son tour, pour me faire taire.
Alors, le loooong cycle infernal de la nuit polaire commence...

Ce qui explique notre épuisement au petit matin, et les réveils tardifs.

Une prochaine fois, chacun sera totalement autonome question matos, et dormira sur une île séparée d'au moins un mile de distance.
Ça nous évitera de nous entre-tuer.

Parce que là, avec nos hachettes affûtées comme des rasoirs et nos énormes coutelas d'une coudée de long toujours à portée de main, on est pas passé si loin du drame nocturne.

Au point que l'un d'entre nous, un soir, dans une cabane, a fini par s'adonner à l'auto-mutilation...

(A suivre...)


Lundi 03 Déc 2012

Drôle d'oiseau

Immensément fier de notre progéniture, j'ai la joie de vous annoncer que notre petit Lapinou des Alpages imite déjà à la perfection les volatiles suivants :

- Le freu malcommode
- Le grand corbeau enroué
- Le ara d'Amazonie affamé
- La mouette rieuse furax
- Le canard de barbarie barbare
- Le phoque malade
- Le ptérodactyle en folie
- Le paresseux kromeugnon

Alors certes, je nous prédis des nuits courtes.
Mais je lui prédis surtout une carrière de biologiste hors pair !

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Lapinou des Alpages tiraillé par la FAIM à 3h42 du mat'
Au dessous, sa mère, acculée pas la BÊTE.
Au loin, son père s'enfuyant lâchement dans le sommeil*...

* Non pasque bon, je bosse aussi demain :-s


Lundi 09 Nov 2009

Salon de l'auto-promo

[Posté in absentia - retour à la vie normale et aux usuelles photos de chatons prévu jeudi prochain, sauf contre-ordre indépendant de ma bonne, Mlle Volonté]

Je vous en parlais il y a un peu plus d’un an :
j’ai été enlevé par les extra-terrestres.

Plus précisément par des extra-terrestres aux multiples doigts, au sens du rythme incroyablement développé, et à l’ouïe hypertrophiée.
Il s’agit des membres du groupe de jazz manouche Jabaswing.
Depuis, je suis l’un d’eux.
Et en compagnie d’une violoniste virevoltante, d’un contrebassiste aux harmonies tutélaires, d’une paire de rythmicistes au swing bondissant entrainant nos deux solistes prestissimo, je souffle mes impros clarinettiques avec un seul but : (me) surprendre (ou me faire peur, c'est selon :p).

En quatorze mois et un peu plus d’une vingtaine de concerts avec ces Jabaswingueurs d'outre jazz, nous avons joué sur des péniches, dans des guinguettes de bord de Marne, avons été invités dans des restaurants, avons retourné des bars, le public dansant sur les tables, remplis des estaminets joyeux et gays, joué pour des anniversaires, des mariages, des retraites, une fête de Pacs juive, des festivals très sérieux de théâtre devant un auditoire dont les yeux attentifs clignaient comme des hiboux, ou de jazz festifs sous chapiteau de cirque, en plein air à la bière ou au champagne, en Champagne comme à Amsterdam et même dans un manoir imaginaire…

Et ça continue !
Si jamais ça vous amuse, le prochain concert de Jabaswing, ce sera :

Vendredi 20 novembre,
à 21h à la Boule Noire

(120, bvd Rochechouart 75 018 PARIS, c’est la salle qui jouxte la Cigale),
dans le cadre du festival Fallenfest.

C’est un tremplin dont nous avons déjà passé le premier tour haut la main (peau d’lapin) en septembre, donc nous ne jouerons pas seuls. L’occaze pour vous mes lapinous de voir plein d’autres groupes sympa pour le même prix.

Il me reste quelques (rares) préventes (10€ au lieu de 12 sur place) - si vos oreilles frétillent et que vous êtes dans les parages, n’hésitez pas à me contacter ! (youdesalpages arobase gmail point com)
Dépêchez-vous, les préventes partent beaucoup plus vite que je ne l'aurais imaginé…

Et si vous ne pouviez pas venir ce soir là, nous jouerons en Gelbique le lendemain soir, à Liège, dans le cadre du festival Sucré Salé.

Un avant-goût de notre tournée mondiale, en quelque sorte !
Jabaswing-logo 2

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=> ça bavarde sec avec 9 propos irresponsables

Lundi 15 Sep 2008

Clair et net

Des fois vous faites des trucs mi-pour faire plaisir, mi-parce que ça vous amuse, et vous vous retrouvez totalement dépassés.
Ne niez pas, je sais.

Exemple vécu : vous avez des copains qui jouent du jazz manouche comme des dieux. Ils ont chacun un nombre de doigts sidérants, qui deviennent tout flous dès qu'ils effleurent le manche de leur guitare, leurs sets dans les bars collent la patate à tout le monde, c'est festif, ça swingue du feu de Dieu et colle une ambiance du tonnerre.
Les voir jouer vous transporte de joie à chaque fois.

Incidemment, ils savent que vous faites de la musique, et vous lâchez un jour que "haha, avant mes aventures bassistico-métalliques, je jouais de la clarinette jazz, du temps du crétacé inférieur."

Ça ne tombe pas dans les oreilles du dos d'une cuillère à pot, et tout soudain ils vous tannent pour qu'un soir vous passiez faire "un petit bœuf sympa à la maison".

Ben voyons.

Bien entendu ils refusent d'entendre que votre clarinette prend la poussière depuis plus de dix ans, que "ah oui mais je sais plus en jouer du tout hein, vous allez être déçus".

Bon.
Bêtement, parce que vous êtes gentil, et que quand même ils sont vachtement bons et que ça fait plaisir de s'aérer un peu, vous finissez par craquer et acceptez.

- - -

Et c'est comme ça que trois semaines plus tard, vous vous retrouvez à jouer avec JabaSwing sur le stand principal de la Fédé 93 de la Fête de l'Huma, une scène amplifiée avec ingé son, retours, sunlights, loge, tous frais payés, devant plus de 120 spectateurs frénétiques.

Bien entendu, une heure avant le concert, le nombre de morceaux pendant lesquels vous aviez accepté, avec une trouille bleue, de pousser un petit coin-coin discret de temps en temps, est passé de 3 à 10. Sous prétexte que "Ah, si, faut que tu joues sur celle là aussi ! L'autre jour t'avais fait un solo bien sympa sur xxx [mettez ici le nom de n'importe quel morceau de jazz manouche bien tendu du slip à jouer à fond], t'as qu'à faire pareil sur [nom de n'importe quelle autre Django Reinhardterie encore plus hardcore] !".
Et hop, sans filet, même pas peur ! ("scrouuuuic..." répondit l'estomac.)

Bref ! Grosse trouille, excellent concert, les gars ont assuré comme des bêtes comme d'habitude, et insistent pour que je continue avec eux.

Alea Clarinetta est, si tout le monde est content (et moi le premier), on continue !

Prochains concerts de JabaSwing les 24 et 31 octobre 2008 (20h)
La Peniche Demoiselle - Bassin de la Vilette - 75019 PARIS (Metro stalingrad)

Viendez nombreux !
[PHOTO] Jaba Swing à la Fête de l'Huma 2008


Mercredi 13 Fév 2008

D'un combat

Ce mercredi, c'est la veille des Encombrants. Sorte de lutins magiques, les Encombrants passent la nuit embarquer des bouts d'armoires mortes, des valises défoncées, morceaux de tables, tuyaux et radiateurs en fonte abandonnés par leurs propriétaires.

Qu'en font-ils ? Mystère... Toujours est-il que ce soir j'ai un cadeau pour eux. Une maudite "Pièce du fond" à vider, autant que faire se peut (Ceux qui connaissent l'histoire de cette pièce s'abstiendront de commenter, merci).

Bref, j'ai posé ma journée, aujourd'hui, c'est le grand ménage.

Au fond de cette pièce infâmante vivote une vieille armoire grise. Et moche. Et à demi-pleine d'antédiluviennes revues scientifiques dont l'initiale qualité documentaire s'est fanée avec les ans, à mesure du jaunissement des pages et des progrès de la recherche.

J'ai convenu de m'en débarrasser. Armoire et entrailles, ainsi que d'un nombre incalculable de gros cartons vides, carcasses d'ordinateurs desséchées, sacs-dont-le-contenu-oublié-effraie.

Phase I
Après un vidage en règle, je veux donner à cette armoire de plus de 100 ans une sépulture décente, si ce n'est une seconde chance : je décide de la descendre entière, et de la laisser intacte sur le trottoir. En aura l'usufruit quiconque possédant une camionnette avant le passage des lutins de la nuit. Un bon coup de peinture et hop, elle sera repartie pour cinquante ans d'usage. Si moi, je ne peux plus la voir, autant qu'un autre en profite.

Je la traine donc hors de la pièce du fond.

C'est monstrueusement lourd, une armoire, même vide.

Et encombrant, aussi.

Pestant, suant, soufflant et au prix de heurts violents, je lui fais descendre, seul, la volée d'une dizaine de marches menant à l'ascenseur.

Pour réaliser que la bête d'1m20 de large, 50cm de profondeur et plus de 2m de haut n'entrera jamais de son plein gré dans la petite cabine. Ni de mon gré à moi, d'ailleurs.

Salope.

Phase II
N'étant pas prêt à lui faire descendre 7 étages à pieds, je remonte l'armoire chez moi. Connasse. Et décide de la démonter proprement.

Mais point de vis, que des chevilles entrées à force et des clous invisibles.

Baste, méthode forte. Scie sauteuse. Vais devoir lui démonter la gueule.

Phase III
Après avoir pété mes deux lames de scie sauteuse chinoise à 29,90€ sur des clous cachés, j'attaque la bête à grands coups de marteau.

Qui finit par casser, lui aussi.

[EDIT : il manquait des bouts]
Phase IV
Interloqué devant les débris du marteau - Doute - Désespoir.

Phase V
Ressaisissement - Révolte - Explosion
[fin de l'EDIT, la vérité historique est enfin sauve]

Phase VI
Sous un accès de véritable rage meurtrière, j'arrive à lui faire sauter les portes à coups de latte vengeurs, puis m'arqueboutant à l'intérieur de sa carcasse échouée au sol, je pousse en hurlant. Les côtes cèdent. Je force comme un damné, fou de haine. Je me détruis les bras et mains.

RHÂÂÂ... HANNNN !!!

La structure craque, mes vertèbres aussi.

La suite se passe dans un nuage de poussière aveugle : il n'est resté de la vielle dame que des miettes.

Le You : 1
L'armoire : 0 (enfin, elle m'a tout de même emporté les vertèbres L4/L5 - R.I.P.)

M'étant débarrassé des reliefs du corps et après une bonne douche, je viens de retrouver une paire de gants de bricolage planqués sous un carton... les fourbes


Mercredi 09 Jan 2008

Dark Lava

Inutile d'attendre, voici les premières photos de notre concert à la Scène Bastille, ainsi que la vidéo de notre "Grand Final" surprise :



I like to... MOVE IT !

Lien vers la video : http://www.youtube.com/watch?v=8CwnwxSsW4Y

Et une petite gallerie de portraits de DarkAnkh :
DarkAnkh Live
DarkAnkh Live, en fusion !
Un capridé cornu, à fond !
Capridé cornu, entre deux bonds sur scène
Fièvre
Avec 39° de fièvre, Sebfish se dédouble
Cassandra, avant les coups de cravache au public
Cassandra, maléfique, juste avant de cravacher les premiers rangs
Ol, impérial
Le Ol, impérial

Merci à TT02 et Reno pour les photos !

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=> 14 pieds d'escargot-vinaigrette

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The Mönstrous Kazette von der Alpages

Et youpi tralala, Glürtenzfeildt ein that Mönstrous Kazette von der Alpages ! Un p'tit bouquetin découvre le monde... et le grand Nawak Universel. Curieux/se? Cliquez sur le mouton

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