Archives pour: Février 2007

Vendredi 23 Fév 2007

Niouzes inside

1/ bonnes nouvelles du front :

- La composante Fédesbois du Gang des Fées à Moustaches vient de donner naissance à un petit Ulysse, et ça c’est drôlement chouette. Bienvenue, Ulysse ; Bon et long voyage par chez nous !

- Le Dude, mon batteur unique et préféré, non content d’avoir pris un an hier (joyeux Dudiversaire !), voit son autre groupe Abhcan passer le 2e tour du festival Fallenfest – et va jouer au Trabendo en mars. Ça me fait plaisir pour eux.
Et puis ça va l’aguerrir pour quand il fera Bercy avec nous au sein d’Ankh :p

- Je viens de finir le fondant au chocolat d’Aurélia dont j’ai testé la recette en live ici, en la floodant comme un immonde sagouin (pardonpardonpardon – oh et puis non :p).
[PHOTO] Bouquetin supervisant les opérations
Eh bin ma cuisine est en ruine, je me suis carbonisé trois doigts dans le four, mais ce fondant est effectivement une tuerie.

[PHOTO] Piou piou p... heu... Cuit cuit cuit !
Miam, schlurp gloaourphf grubl burp.

-*-*-*-*-*-*-*-*-
o_O

2/ Golemitude

Du vécu tout frais de cette semaine : une situation troublante avec notre Golem de bureau..

Le Golem : Ach, le imprimante il marche pas, ya ? : zé marké "fin de vie tambour".
Moi : ah, bon ? On vient de changer le tonner portant… ya pas un sticker collé qui bloque ? Attends je regarde…
(Je démonte l’imprimante, scrute et secoue la pièce incriminée : rien.)
Je la remets en place, espérant un miracle de Saint Hewlett Packard)
Le Golem : Ach, za marcher maintenant ?
Moi : euh…
Le Golem : Ya ! Je faire photocopie !

Et elle lance la fonction photocopie… sans poser sur la vitre le moindre document à photocopier :o

Sort une feuille blanche, bien sûr.

Le Golem prenant la feuille blanche et vierge, et l’inspecte avec attention…

Puis, parfaitement satisfaite: « Ya, za marche drès pien, merzi beaucoup ! »

Trois jours plus tard, je m’interroge toujours sur sa logique alien…

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Vendredi 16 Fév 2007

Rééducation sentimentale

(Juste une fois, je me lâche.
Et après promis je ne vous emmerde plus avec ça)

Se lever, le matin, et ne pas faire de bruit, mettre la radio tout doucement, pour ne pas réveiller... qui ?
Plus personne.
Douche, brossage des quenottes, un coup de déo - et un pschitt d'Acqua di Giò sur le torse pour...
Non, juste pour soi, finalement…
Le lit est déjà vide, froid – il n’y a plus de bisou tendre qui réveille en douceur à livrer avant de s'envoler bosser.

Le soir, rentrer, par habitude désormais.
Le nid est désert après tout, personne ne m'attend plus - alors pourquoi se presser de rentrer ?
Paris m’attend ! Oui... pas ce soir, qu’il attende encore un peu.

Se dire qu'on ferait bien à manger. Mais la question n'est plus "quoi ?" mais "pour qui".
Et finalement : "pourquoi ?".
Car je n'en suis pas encore au "pourquoi pas"...

Redécouvrir l'appartement.
Ces coins réservés, domaines de l'absente, étagères maintenant vides ou presque. Difficile de se réapproprier ces territoires cédés sans s'en rendre compte, et finalement si vite désertés.
Briser le tabou, effacer les ronds de poussière, y poser mes affaires, planter mon oriflamme – Il le faudra, de force, contre moi-même.
Comme un chat sentirait encore l'odeur de l'"autre" et n'oserait s'y aventurer.
J’ai encore du travail de rééducation sentimentale à faire.

Et se dire que finalement, on rachèterait bien quelques soutiens-gorge.
Pas pour les porter, non (je n'en suis pas rendu là).
Juste pour les suspendre, de ci de là.
Une guirlande de soutiens-gorge c'est bien la plus belle déco qu'on puisse faire dans un appartement !

- - -

Ce soir, après plusieurs nuits d'insomnie, j'espérais m'effondrer comme un sérac, terrassé par le sommeil, et arrêter un peu d'y penser.
Perdu. Trop crevé pour sortir patiner, trop claqué pour dormir tout de suite.
Me reste plus qu’à tester mes tisanes inuites « Délice boréal » (venant tout droit de Mamaittuqutik au Labrador) devant un bon DVD de metal (Children of Bodom ? Parfait.)

Pour renaître demain matin, un peu plus neuf, un peu plus jeune, un peu plus heureux, un peu plus libre, j’espère…

Et reprendre ma galopade dans la vie, petit bouquetin un peu timbré sautant en solo de rocher bizarre en rocs crétins par dessus les abymes.

Shptoïnk, shptoïnk, shptoïnk, shptoïnk, shptoïnk...

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Permalien Posté par You à 00:08, Catégories: La vie, l'univers, le reste, A la mimine,   -  
=> Déjà 26 machins, and counting

Mercredi 14 Fév 2007

Saint Knout

Trois martyrs.

Un prêtre romain (soutane en pilou, grosses sandales en cuir de gnou), un évêque du IIIe siècle (robe de chambre brodée de soie, col en peau de chaton, suppositoire sur la tête, trop sexe), et un martyr d'Afrique du Nord dont on ignore absolument tout, à part son nom.

Tous trois ont mal fini, préférant mourir puceaux sous la torture plutôt que jouir de la vie à faire des trucs intéressants.

Tous trois ont été canonisés par l'Eglise.

Tous trois s'appelaient Valentin.

A mon avis, dès le départ, elle était mal barrée, cette fête...

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(Et qu'on ne me dise pas que je suis de parti pris, parce que je suis de parti pris ! (Bien que techniquement, je ne sois désormais plus un parti pris - ceci expliquant peut être cela. (Ah, la la, pour une fois que cette ânerie ne me concerne plus, je trouve encore le moyen d'être ronchon. (L'être humain est bien compliqué, ma pov' dame. (Et je suis confus si je veux, rhâââ mais ! (Elle vous plaisent, mes parenthèses ? Ça tombe bien, il m'en reste un plein sac, je vous fais un lot juste là : ))))))

Permalien Posté par You à 13:10, Catégories: Du nawak,   -  
=> La presse unanime ! 18 articles élogieux !

Lundi 12 Fév 2007

Relachez cette rampe, ou je descends l'escalier !

Suis allé voir le dernier David Lynch, INLAND EMPIRE.
J'avais adoré Mulholland Drive et Lost Highway, et j'avais du temps à passer dehors (dans tous les sens du terme), on peut dire que la sortie de ce (très) long métrage tombait à pic.

Deux heures et cinquante deux minutes d'images troubles à la DV, délires fragmentaires, entre grâce et cauchemar fiévreux, avec des actrices paranoïaques et des lapins qui parlent (si si).

Lynch a ce coup-ci définitivement abandonné toute tentative de suivi d'un hypothétique scénario. Le mot d'ordre pour comprendre ce film : démerdez-vous !

"Tiens, voilà deux planches de kougloff à découpe non euclidienne et 18kgs de vis, tu dois faire une armoire normande avec ça. Ou un canard spongieux".

Je ne vous raconte pas l'histoire, non pas pour ne pas vous spoiler le film. Non, juste parce que ce serait juste un défi totalement vain.

Lynch est un cinéaste qui s'adresse à notre cerveau. Et qui demande un effort de suivi et d'interprétation ludique.
Mais là, après deux heures cinquante deux, il vous rend votre encéphale dans son état d'origine. A savoir : une masse informe de gelée grisâtre parcourue de chocs électriques aléatoires. Avec quelques tics nerveux en prime.

Mais je sens que vous n'êtes pas convaincus par ma critique.
Je vous livre donc en exclusivité mon analyse à la sortie de la salle

"Gn..."

J'ai hâte de lire des débats enflammés et les interpétations délirantes qui vont inonder les forums ces prochains jours...

Suis le lapin blanc

Suis le lapin blanc
Métro Duroc, magnifique graffiti sur un miroir, au détour d'un couloir.

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Permalien Posté par You à 01:19, Catégories: La vie, l'univers, le reste,   -  
=> Caribou d'câliss, 22 chiens d'traineau, chum

Vendredi 09 Fév 2007

Phrase du jour

Un crocodile avec une jupe en skaï sera toujours moins ridicule qu'en pantalon.

Permalien Posté par You à 14:10, Catégories: Du nawak,   -  
=> 11 commentaires ? On ne vous arrête plus !

Dimanche 04 Fév 2007

Le Club des Cinq

"Le Club de Cinq" ou...
"Cinq trucs sur le You, que vous auriez préféré ignorer, finalement"

Je pensais être tranquille et passer à travers, mais ce questionnaire maudit a tellement tourné qu'il devait finir par me tomber sur le museau.
Dragibus, ce fourbe thrashmetaleux me l'a passé en douce. Puis Aurélia, cette violente ponk rose, a enfoncé le clou (aïeu) en en faisant de même.
C’est donc acculé que je m'exécute. (Pan ! - arghl)

Racolage : Je suis le fils spirituel de Marilyn Monroe. Je dors nu.
Complètement à poual sous la couette.
L'homme dans toute sa splendeur - Adam au dodo.
J’ai pris cette habitude avec ma première conquête féminine, probablement pour faciliter notre toute jeune vie d’amoureux effrénés, et je ne m’imagine plus dormir autrement que totalement libre de toute entrave caleçonique.
Du coup j'appliquerais bien cette liberté vestimentaire à ma vie diurne, mais je crains que mes collègues ne commencent à me regarder de travers.
Ou avec un peu trop de concupiscence, ce qui, l'un dans l'autre et pour connaître l'esprit pervers de certains d'entre eux, ne serait guère mieux.

Magie de l'enfance : Quand j'étais petit, je préparais toujours un banquet pour la Petite Souris. Lorsque je perdais une dent de lait, elle avait droit, pour se reposer de son long voyage, à un canapé moelleux fait avec une toque de Davy Crockett, des biscuits, et à l'accueil chaleureux de tous ses amis : un mickey en plastique, mes peluches, et le staff complet de la Lego's Corp prêt à la combler de leurs bienfait attentifs...
Et pourtant, je n'ai jamais cru à l'existence de la petite Souris. Et je savais très bien que la boîte de Playmobils posée là le lendemain matin avait été apportée par un couple d’ornithorynques.
Mais maintenant encore, je continue à faire semblant de croire au "petit Peuple", et à empiler en rando cailloux et fleurs des champs, pour rendre hommage aux lutins, aux elfes, sylves et autres dryades.

Révélation intime : Mlle MaPuce et moi nous nous séparons. Une belle page de 6 ans se tourne, et ce n'est pas très rigolo. (Voilà, c'est dit, merci de ne pas épiloguer là-dessus dans les commentaires)
70% de mes dernières notes avaient trait à ce sujet précis, et je les ai toutes effacées au fur et à mesure avant publication. Mais ce blog et ce faux dialogue muet avec vous, lecteurs virtuels qui n’en avez jamais rien su, m’ont à coup sûr aidé à réfléchir, à prendre un peu de recul et à avaler cette séparation.

Gerbouladisme : je viens de comprendre pourquoi les cookies au chocolat que j'avale depuis 1/2h ne sont pas très bon. La DLC sur le paquet indique "12/2005". Yurk.

Nawak : il n’y aura pas de cinquième révélation intime, car j’ai toujours préféré « Les Six Compagnon » au « Club des Cinq ».

Et de cinq + 1 : penser à racheter du produit à vaisselle, j'en ai plus

Voilou !

Je passe le relais à Seb (Lotte l’a déjà passé à Fedesbois), Maurice Bouchon, Krazy Kitty (si elle veut, hein), Crooke, Mlle Moi avant qu'elle ne s'envole vers les antipodes et The Dude.
Oui, je sais, ça fait six, c’est comme d’habitude complètement arbitraire (une vache), mais j’ai encre une douzaine de noms de victimes potentielles dans mon calepin, alors faisez gaffe…

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Permalien Posté par You à 16:15, Catégories: La vie, l'univers, le reste,   -  
=> 29 petits lapins festoient dans la prairie

The Mönstrous Kazette von der Alpages

Et youpi tralala, Glürtenzfeildt ein that Mönstrous Kazette von der Alpages ! Un p'tit bouquetin découvre le monde... et le grand Nawak Universel. Curieux/se? Cliquez sur le mouton

You

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